1 - Réduire sa consommation de plastique
La mort de plus de 50% des tortues de mer est aujourd’hui due à une ingestion de déchets plastiques, selon les biologistes marins… et il faut au moins 450 ans pour qu’une seule bouteille d’eau se dégrade naturellement.
Afin de réduire sa propre consommation de plastique, nous pouvons éviter d’acheter de l’eau en bouteille (à troquer contre une gourde), mais aussi éviter tous les objets en plastique à usages uniques : sacs plastiques ou encore vaisselle jetable !
2 - Toujours jeter ses mégots à la poubelle
Le mégot est le déchet numéro 1 : chaque année 4,5 milliards de mégots sont jetés dans le monde. Hors 1 seul mégot pollue jusqu’à 500 L d’eau à cause de ses composés toxiques ! Comme dirait notre partenaire Surfrider Foundation Europe : “Jeter par terre, c’est jeter en mer”, alors si vous êtes fumeurs, éteignez-bien vos mégots et jetez-les toujours à la poubelle ou idéalement dans des collecteurs spécialisés !
3 - Se renseigner sur la composition de ses vêtements
Chez Balzac Paris, c’est un engagement qui fait intégralement partie de notre démarche T.P.R (Toujours Plus Responsable) : choisir des matières qui ont un impact faible sur les océans. Nous nous tournons alors par exemple vers le coton bio, sans pesticides polluants, ou encore le Seaqual™, un matériau produit à partir de déchets plastiques récoltés dans les océans. Certains labels, comme GOTS (Global Organic Textile Sandard) ou OEKO-TEX® s’assurent de préserver la qualité de l'eau (et donc des océans) en stoppant les substances nocives pour les écosystèmes aquatiques.
4 - Utiliser un sac Guppyfriend
Laver des vêtements en fibre synthétique relâche des microplastiques dans l’eau qui polluent les rivières et les océans. En retenant 86% de ces microplastiques lors de leur passage en machine à laver, ce grand sac de lavage permet d’éviter 35% des microplastiques que l’on retrouve dans l’océan ! Il protège par ailleurs vos vêtements et prolonge ainsi leur durée de vie.
Il est disponible sur notre eshop ! Adoptez-le par ici :
5 - Limiter son empreinte carbone
Les océans absorbent environ 30% des émissions de CO2 que nous produisons. Cela n’est pas sans conséquences : selon Ocean Open, les niveaux actuels d’acidité des océans ont augmenté de 26% depuis le début de la révolution industrielle. Cela a des répercussions irréversibles sur la faune et la flore marine !
Pour réduire ses émissions de CO2, quelques gestes quotidiens peuvent faire la différence : préférer les déplacements en vélo ou en train à ceux en voiture, limiter sa consommation de viande, acheter des ampoules LED ou encore choisir les programmes “éco” de ses appareils ménagers.
6 - Organiser ou participer à une collecte de déchets
Vous êtes certainement déjà passés au bord d’un fleuve ou le long d’un bout de plage envahi par les déchets. Notre partenaire Surfrider Foundation Europe a mis en place les Initiatives Océanes qui organisent de grandes collectes de déchets partout en France et en Europe ! Elles sont organisées afin de sensibiliser les participants, mais aussi afin de recourir à la science participative pour produire des données sur le phénomène de pollution marine et notamment celle de la pollution plastique. N’hésitez pas à vous rapprocher des antennes Surfrider Foundation Europe les plus proches de chez vous pour participer ou organiser votre collecte !
PS : Vous vous souvenez de notre sweat Océan ? À chaque sweat acheté, 30€ sont reversés à notre partenaire Surfrider Foundation Europe afin de soutenir les Initiatives Océanes ! Il revient bientôt, inscrivez-vous à l’alerte en ligne pour ne pas le rater.
7 - Adopter une philosophie RRRR !
RRRR ? Réduire, Réparer, Réutiliser, Recycler. Un acronyme cousin de notre fameux T.P.R (Toujours Plus Responsable) qui incite à réduire sa consommation globale (“Est-ce que j’en ai vraiment besoin ?), à réparer ou réutiliser au maximum ce que l’on possède (“Est-ce que je dois vraiment le jeter… Ou est-ce que je peux le revendre sur la plateforme de Seconde Main Balzac Paris ?”) et à correctement recycler ce qui doit être jeté (“Comment faciliter la seconde vie de mon déchet ?”). Car le déchet qui pollue le moins les océans, c’est celui qu’on ne crée pas !