Le mois de mars est enfin arrivé ! Nous avions hâte de vous dévoiler notre nouvelle collection respirant la liberté, le soleil, et la joie de vivre. En mars, nous nous sommes inspirés de vos plus beaux souvenirs de vacances. Vous êtes donc au cœur du processus créatif ! Merci d’avoir pris le temps de vous replonger dans vos anciens albums pour dénicher LA photo qui pourrait nous inspirer, merci de nous avoir partagé des souvenirs qui vous sont précieux, et enfin merci pour votre confiance. Le pull Amaury a été inspiré de la photo d'Adeline Goismier. Nos 4 stylistes Marie-Camille, Cécile, Catherine et Maria nous dévoilent le processus de création de cette collection co-créée avec vous : Pourquoi cette collection n'est-elle pas comme les autres ? Marie-Camille, Styliste prêt-à-porter : Cette collection est particulière car nous avons vraiment pris les photos de nos clientes comme point de départ. Nous avons regardé chaque photo envoyée avec beaucoup d’attention, et nous avons composé notre collection de mars en nous inspirant des détails vintage et d’époque. Catherine, Styliste maille : Oui, pour cette collection, on peut dire que ce sont vraiment les clientes qui sont venues à nous. Maria, Styliste accessoires : Cela nous a permis d’explorer un peu plus le vintage. Comme c’est déjà quelque chose qui nous tient à coeur et entre dans l’ADN Balzac Paris, cette collection a canalisé une nouvelle ligne esthétique : une masse de visuels, d’ambiances et d’environnements différents. C’était également très touchant de se sentir aussi proche de nos clientes en recevant leurs photos. Comment vous est venue l'idée de faire participer les clientes au processus créatif ? Catherine : Même au bureau, nous nous sommes toutes prêtées au jeu en envoyant nos photos d’enfance et avons reçu toutes ces vielles photos avec beaucoup de joie, en nous amusant à chercher qui était la maman de qui ! Maria : Balzac Paris est une marque qui communique, qui passe beaucoup par le lien avec ses clientes (ateliers, rencontres, événements). C’est pourquoi cela avait un sens pour nous de les inclure dans notre processus créatif, d’obtenir un retour direct de leur part tout en renforçant nos valeurs de marques. La photo de Cécile a inspiré la chemise Zora vichy. Comment les photos reçues ont-elle contribué à votre inspiration ? Cécile, Styliste prêt-à-porter chez Balzac Paris : En partant des photos que nos clientes nous avaient envoyées, on s’est vraiment inspiré des vestiaires du passé : l’envie de retrouver des robes de nos grand mères, de nos mamans, ou même celles que nous avions quand nous étions petites ! Catherine : En s’inspirant des photos, on a découvert qu’il y avait certaines coupes de robes ou encore différents points de maille que nous n’avions encore jamais recréés. Par exemple, c’est la première fois qu’on a décidé d’inclure le col rond dans une maille. On joue vraiment le jeu en osant le coté plus enfantin qu’on avait à l’époque. Maria : les formes des pièces, les époques, les techniques de fabrication… tout y a contribué ! La collection en quelques mots ? Cécile : L’insouciance, l’émotion des souvenirs passés. Marie-Camille : La fraîcheur ! Cette collection fait du bien, c’est un souffle nouveau, on se replonge dans le passé, cela évoque des souvenirs. Maria : Ultra-lumineuse, pleine d’énergie, de douceur, et d’affirmation ; le fait de plus s’affirmer c’est aussi ce que nous insufflent les clientes au quotidien. La robe Lydia a été inspirée de la photo de Melanie Vo Dinh. Avez-vous des exemples concrets de détails inspirés par ces photos ? Catherine : Il y a les petits cols ronds aux allures enfantines, les cols plus travaillés des années 90, les dessins brodés sur les pulls. Cécile : On retrouve pas mal de codes de l’enfance : les fleurs brodées, les cols un peu larges, le lange brodé, les pois, les petits galons travaillés sur les jupes et chemises. Certaines coupes de robes aussi, qui peuvent évoquer les moments à la campagne quand on était petite. Il y a également les ouvertures de chaussures sur le talon comme avaient nos mamans, les jupes longues et fluides de nos grands-mères… Marie-Camille : On s’est inspirées des robes des mamans un peu vintage, par exemple en retravaillant les robes longues plissées de l’époque, en y ajoutant un plus grand décolleté et plus de couleurs. On retrouve également beaucoup la couleur rouge avec des imprimés très forts, évoquant l’enfance. J’étais moi-même habillée de la tête aux pieds en rouge pendant mon enfance. La femme Balzac aime le coté enfantin, un peu nostalgique et assume aussi son coté sexy mais sans jamais être vulgaire ! Maria : Pour ma part, en tant que styliste accessoires, on retrouvera vraiment ces détails dans la hauteur de talon des chaussures, ainsi que sur les techniques de fabrication. Nous avons notamment des talons tressés main comme à l’époque de nos mamans. On pourra également retrouver ces détails sur le porté de sacs à main ; une inspiration qui sera retrouvée un peu plus en douceur que pour les talons. La robe Natasha a été inspirée de la photo d'Anne Biémouret. Votre plus beau souvenir de vacances ? Catherine : Chez ma grand mère en Alsace, avec mes 7 cousins et cousines à jouer dans le jardin et à faire des cabanes. On était tellement sales que mes parents nous lavaient au jet d’eau ! On vivait dans le jardin, c’était une colonie de vacances familiale ! Cécile : Pour moi, les meilleurs souvenirs d’été sont ceux que j’ai passé dans mon jardin avec mes frères, mes cousins et cousines, pas forcément quand je partais en colonie de vacances, mais plutôt chez moi avec ma famille, à cueillir des fruits, à se balader dans les ruisseaux avec mes amies et à gouter aux délicieuses tartes de ma maman. Marie-Camille : Je garde un très bon souvenir des mes vacances à l’ile de Ré quand j’étais petite. Je passais mon temps à vélo, et pédalais jusqu’à La Martinière pour manger des glaces… et j’adorais grimper dans les arbres ! Maria : Mes parents sont originaires du sud de l’Italie. Quand j’étais petite, nous passions notre temps entre une maison en campagne et entre la ville. J’aimais beaucoup faire le ping pong entre les deux et j’adorais faire la route pour arriver jusqu’en Italie. Mes grand parents du côté de ma mère partageaient un agriturismo (cooperative où nous pouvions faire pousser nos fruits et légumes, faire notre propre vin et récolter notre miel l’été), entre la Calabre et la Sicile. J’ai adoré ça !